
Ce qui saute aux yeux quand on vit au Koweit, c’est le mélange entre tradition et modernité. A Kuwait City, il y a les tours immenses illuminées et pas loin, le Souk Al-Mubarakyia. Il y a les routes qui traversent le désert où l’on voit des chameaux et puis il y a les villes en perpétuelle construction.
Le pays est tout petit, il n’y a pas de forêts, pas de lacs, pas de rivières. Il y a du sable, du sable, du sable, du goudron, un peu de sable et puis la mer sur le côté.
Il y a des travaux partout, le pays est en construction, rien ne semble jamais finalisé. Rien n’est terminé. C’est un chantier qui ne s’arrête jamais. Les boutiques ouvrent puis ferment, les quartiers changent en deux mois.
Les plages au Koweït
Les plages où les femmes peuvent se mettre en bikini sont la plupart du temps payantes. A Shaab, à côté de Al Corniche Club, il y a un endroit où l’on paye 5 KD et on peut s’installer. Tables et chaises en plastiques, chaises longues, on peut y passer la journée. Sinon, il y des grands hôtels comme le Radisson qui proposent de payer à la journée afin de profiter du luxe et de la tranquillité qu’offrent ce genre d’hôtels.
Ou alors, on peut prendre sa voiture et conduire plus longtemps… Pour rejoindre ma plage secrète, je compte environ une heure et demi de voiture. Moins qu’un Paris – Deauville en voiture, pas de péage à payer, l’essence est moins chère et la plage est … vide.
Kuwait City : entre tradition et modernité
A Kuwait City, on marche au pied de tours immenses. Impossible de faire comme si elles n’existaient pas : de nuits elles sont illuminées et de jours elles sont tellement impressionnantes ! Impossible de les prendre en photo d’en bas tant elles sont hautes.
Et au milieu de tout ça, il y a le souk Al Mubarakyia. On marche dans le plus vieux souk du Koweit. Entre les vendeurs de dates et les fruits et légumes, une odeur de poissons frais se dégage. Une impression d’être hors du temps, les restaurants extérieurs sont remplis de brumisateurs, on s’assoit sur des chaises en plastiques, les serveurs parlent à peine anglais, on mange et on boit pour 2KD par personne.

Des routes au milieu du désert
Et puis, au milieu de tout ça, des routes. Des grandes autoroutes qui descendent vers l’Arabie Saoudite et d’autres qui montent vers l’Irak. On conduit au milieu du désert, on aperçoit des chameaux par les fenêtres. Des vendeurs ambulant vendent des bouées en plastiques quand on se dirige vers les chalets et la mer, tandis qu’il n’y a que du sable quand on s’enfonce dans le pays.
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